Paris, Lyon, etc...
Le « foutage de gueule continue ! »

Pardonnez-nous l’aspect un tantinet grossier de ce titre mais trop c’est trop. Les maires de ces villes nous rebattent les oreilles pour leur amour immodéré du vélo, le « commuting », l’éco-responsabilité, la lutte anti-pollution, la mobilité douce et « tutti quanti ». Mais sur le terrain, c’est juste n’importe quoi ! Beaucoup de choses sont faites à l’encontre du bon sens. Il suffit de rouler pour s’en convaincre Et devinez sur qui ça va tomber… ?
Olé ! la ville est devenue un lieu de non respect du code..

Mais quelle bande de charlatans !
Quelle bande de cyniques, d’imposteurs oserais-je.
C’en devient insupportable.
Cette semaine, je me suis promené à Paris et à Lyon à vélo. Une énième fois. Et le constat n’est pas beau à voir.

Je passe sur les derniers chiffres de la sécurité routière qui indique que les accidents et morts à vélo augmentent, en gros, de 30 %. Ce qui paraît bien faible mais tellement inévitable au regard des crétins qui enfourchent de plus en plus un vélo.
Emmanuel de la Taille, ancien journaliste de TF1 vient de décéder sur son vélo à Paris le 13 octobre dernier. Sur les champs -Elysées, à 89 ans. Percuté par un camion. Ou le contraire.
Dans ce drame, Nous n’avons évidemment rien à reprocher à ce pauvre monsieur mais il est un peu l’exemple type du n’importe quoi actuel du vélo en ville pendant que dans les mairies, on ne cesse de se gargariser sur les actions (positives) menées.
Dans cet accident, encore pardon pour la famille, il n’y a rien qui va sauf le souhait d’un vieux monsieur qui voulait, et c’est tout à son honneur, continuer à vivre en gardant une activité physique qui lui permettait, en outre, de se déplacer.
Mais ce n’est pas possible !

Mais on voit très nettement que pour une majorité, si ce n’est la totalité des néo-cyclistes, la trilogie voiture – camion (ou bus) – vélo est un cocktail explosif pour la pratique du vélo en ville.
Et les politiques font bien semblant de ne rien voir.
Que les accidents et décès augmentent depuis que le vélo est à la mode, rien de plus normal. Mécaniquement, l’augmentation de la fréquentation porte en son sein ce type de chiffres. Le souci, c’est que cela va encore nous retomber dessus. Par nous, j’entends ceux qui font du vélo à vocation sportive depuis longtemps. Donc ceux qui « savent » car, l’histoire d’Emmanuel de la taille ne pourrait guère arriver dans une famille de cyclistes « historiques ». Nous aurions tous intimé fermement à notre père, grand-père, mari ou frère de raccrocher définitivement son vélo au clou !
On peut aussi citer ces cyclistes « du dimanche », version un peu bobos sur les bords, qui croient avoir acheté une décapotable ! La tête en l’air, à admirer tout ce qu’ils ne voyaient pas avant dans les transports en commun… en oubliant évidemment tout le reste, à commencer par la plus élémentaire prudence à vélo, respecter le code de la route.

Sens interdit, skateur, vélo hors de son couloir et voiture à cheval sur le couloir du cycliste. Feu rouge, bien sûr ! C'est la fête...

Veli’b : Les jeunes complétement à l’ouest !
Avez-vous remarqué qu’à chaque fois qu’un drame arrive, un Veli’b, un Velo’v ou un « vel truc » n’est pas loin ? Ouh là, pas d’amalgame, c’est la mode. Surtout ne pas toucher à l’extraordinaire développement des vélos publiques en location. C’est un succès, chacun le sait. Avec 160 millions d’euros de perte pour Veli’b à Paris et les accidents, effectivement, c’est une réussite sans tache…
Autre cas d’école, « le » jeune. Lui, comme le dit mon ami chirurgien orthopédique il endosse le costume du « donneur d’organes favori » à la place peu enviée des motards. Eux font n’importe quoi de préférence. En général, c’est le « jeune » qui percute les gens sur les trottoirs ou dans les rues piétonnes, mais quand il croise une voiture ou un camion, de préférence le soir et sans éclairage, c’est le strike direct et là, il perd la partie.
On ne peut donc pas non plus accuser les mairies de tous les maux mais indéniablement, les responsables des « mobilités douces » ont oublié que le vélo, en ville, ça s’apprend.

Quand en haut lieu on croit qu’un âne en voiture devient un « juste » à vélo !
L’insupportable, avec la bande d’écolos aux manettes des villes, c’est qu’ils ne connaissent rien au vélo. Un comble !
Et apparemment aux voitures non plus si ce n’est le CO2 dégagé. Leur vision est totalement déformée par le prisme de l’anti-pollution et ils sont incapables de prendre en compte quelques vérités de bases lorsqu’ils s’attellent à créer un réseau routier citadin pour les vélos.
Le dogme est à ce point puissant chez eux qu’ils en arrivent à créer ces fameux sens interdit autorisés pour les vélos quand même !
Qu’ils ne se disent pas que la peinture au sol, en voiture, est difficilement visible et qu’en plus, elle s’efface… au-delà de faire glisser les vélos !
Que l’habitude en voiture à ces tares. Même chez les plus sérieux.
Qu’avant que tout le monde ne parvienne automatiquement à se dire qu’un vélo peut débouler là où, depuis 15 ans, ce n’était pas possible, il va se passer du temps.
Et j’en passe.
Mais le point d’orgue, c’est l’éclairage. Je vous invite à vous poster à un carrefour, le soir, en ville : 15 minutes suffisent. Comptez le nombre de personnes sans éclairage. C’est sidérant. Le plus dingue, c’est que pour le coup, les Veli’b et autres ont pensé à intégrer un éclairage efficace sur leurs machines. Bravo !

Fort de cette réussite, on aurait pu croire que cela allait servir à augmenter la sécurité des cyclistes. Que nenni. Nous n’avons observé aucune demande, ni des édiles, ni des associations, sur l’obligation absolue de la présence d’éclairage intégré sur les vélos à vocation « city ».
Ce genre de décision n’est pourtant pas liberticide et ferait disparaitre l’immense majorité des vélos non éclairés le soir. On peut parler aussi du casque…
Mais non, eux leur truc, c’est surtout d’empêcher les voitures de venir en ville ; un bon embouteillage, c’est plus efficace pour écœurer les automobilistes que d’éduquer les cyclistes et les éclairer…
Car, le fond du problème est évident :  un âne en voiture reste un âne à vélo : sauf qu’il passe du rôle de chasseur à celui de victime ! Quant aux purs et durs, qui se déplacent avec chauffeur (nos édiles) ou leurs employés (les bobos), en transport en commun, aucun des deux n’a la moindre expérience du vélo en ville.
Le carnage s’explique…

Pas fous, les Français : Tous les vélos utilisés pour la ville sont des vieilles pétoires...

Nivellement par le bas, As Usual…
Mes amis, je ne donne pas cher de notre liberté quand les politiques vont se mettre sur la peau des cyclistes qui vont, d’un coup, passer du camp des gentils à celui des méchants. Car voilà : un mort est un mort. En voiture ou à vélo. Mais à vélo, ça ne rentre pas dans la bonne case. Et si ça finit par être visible, alors l’artifice du bon cycliste contre le mauvais automobiliste disparaîtra !
Il changera de de camp. Il faudra donc, lui aussi, l’arrêter. Ou au moins le spolier.  Il faudra qu’il paie, lui aussi. À tous les niveaux…
Il faut dire qu’actuellement, et ça monte encore, les incivilités routières, donc le non-respect du code de la route, sont d’un tel niveau que ça va forcément « péter » quand on ne va plus pouvoir accuser un « chauffard », parfaitement en son droit, d’avoir écrasé trois cyclistes, alors qu’il avait le feu vert, roulait à 50 k/h (ou 30), qu’il avait sa ceinture et n’avait pas picolé. Et si les cyclistes sont fumés au Cannabis, nous ne sommes pas à l’abri que cela soit retenu comme circonstances atténuantes. Take it easy, man…
Bref, quand on va admettre que certains cyclistes décédés sont parfois les vrais responsables de leur retour vers le seigneur… alors gare à l’avalanche !
Ce jour-là, proche malheureusement, là-haut, ça va légiférer. Là où nous passions, religieusement, à certains feu rouge (il faut le dire) sans danger, ça va tomber fort. En ville, quand tu ne veux pas crever, que tu n’utilises pas obligatoirement les pistes cyclables sur 200 mètres, ça va tomber.
La liste sera surement très inventive.
On est déjà obligé de mettre une plaque soi-disant anti-vol sur nos vélos depuis le début d’année. Qui a décidé que cela devait être obligatoire ? Pourquoi ?
Imaginons que l’on se fasse voler son vélo, si pas de plaque, c’est ton problème ! Et non. Ça va encore tomber.
En revanche, même si tu ne lâches jamais des yeux voire des mains ton destrier, tu dois impérativement le pourrir avec cette plaque ou le graver. Mais ça, ce n’est pas dans leur logiciel. Juste celui des cyclistes sportifs. On attend au passage l’efficacité de la mesure grâce à la surveillance de tous les instants de nos vélos par la police. Ils n’ont que ça à faire, c’est bien connu.

Pour la petite histoire, lorsque nous avons été cambriolés à l’Acheteur Cycliste, nous avions le numéro de série d’un des vélos, le Time VXRS. Un vélo à 8000 €. Nous avons prévenu les gendarmes. Nous n’avons eu droit qu’à une fin de non-recevoir à la limite de la correction.
Enfin, ne nous plaignons pas, grâce à sa plaque, vous récupérer le cadre de votre vélo, sans batterie (si électrique), des roues « destroy » et une transmission aux abonnés absents. Sans selle, of course !
Mais les policiers auront retrouvé votre « vélo ». Ouf.

Imaginez ça de nuit avec un cycliste peu ou pas éclairé : Strike assuré !

Les « instances » du vélo », c’est qui ?

Je n’ai rien contre la FUB et ses centaines de membres, autres associations de France et de Navarre, mais enfin qui sont ces gens ?
À chaque fois que j’entends parler vélo à la télé ou à la radio, on voit la FUB intervenir. Pas de problème, on voudrait juste savoir quelle est leur légitimité ?
Pourquoi et comment sont-ils devenus les représentants unilatéraux du vélo en France ? Des 14 membres du bureau du CA, je n’en connais aucun. Il est vrai qu’avec 40 ans de vélo derrière moi, je manque surement de réseau…
Ce qui est aussi étonnant, c’est que n’apparait nulle part leurs états de service « cycliste ». De là à imaginer qu’ils sont là un peu par hasard, il n’y a qu’un tour de pédalier que nous ne ferons pas mais à une époque où l’entre-soi, le clientélisme ou les liens familiaux sont la règle, la moindre des choses serait de communiquer des informations sur ceux qui se sont autoproclamer nos représentants, non ?
Partons cependant du principe que cette association est là pour nous, nous aimerions bien connaitre leurs recommandations sur le triptyque mortel du vélo en ville (voiture/bus/vélo), sur les actions entreprises contre le vol, sur le parking à vélos en ville, sur l’éclairage d’un vélo, sur l’éducation de la conduite à l’école, etc.
En fait, tous ces thèmes sont traités sur le site de la FUB. Mais il semble que nous soyons chez les bisounours ! Un exemple pour situer les conseils que l’on vous donne sur le site : « Sur un rond-point, giratoire, etc., ne vous faites pas oublier en rasant le trottoir extérieur (être vu…). En plus, vous auriez toutes les difficultés pour sortir du rond-point en virant à 90° ! Ne prenez pas non plus la trajectoire la plus courte en rasant le terre-plein central ! Et… signalez à chaque intersection vos intentions : « je sors du rond-point » ou « je continue sur le rond-point » !

Déjà, je n’ai rien compris à l’histoire du problème de raser le trottoir extérieur. C’est ce que je fais tout le temps, pour éviter de me retrouver au milieu de la fosse aux lions, à devoir regarder partout pour sortir.
J’ai encore dû comprendre de travers.
Au passage, si vous avez fait un peu de piste, même juste une initiation, c’est comme si vous surveilliez votre concurrent en épreuve de vitesse. Presque drôle…
Mais le problème n’est même pas là. Au-delà de nous prendre pour des idiots avides de finir à l’hôpital comme lorsque l’on a droit à ce genre de conseils : « Quand il existe des aménagements cyclables, utilisez-les ». Ah bon ?
Ou en cas de litige après une gamelle ou un accident, dans le cas où vous êtes encore debout :
« En cas d’altercation avec un autre usager de la rue, sachez vos droits (et vos devoirs…). Si le récalcitrant devient menaçant, le mot « avocat » le calmera rapidement ! Placez-le dans une phrase du genre : « J’espère que vous avez un bon avocat… ».

Bref, ces gens-là semblent nous prendre pour des débiles d’autant que le problème numéro 1 à traiter c’est :
1/ L’éducation, le respect du code et l’existence de pistes cyclables réfléchis AVANT l’accident
2/ L’éducation, le respect du code et l’existence de pistes cyclables réfléchis AVANT l’accident
3/ L’éducation, le respect du code et l’existence de pistes cyclables réfléchis AVANT l’accident

Ensuite, deux éléments simples à énoncer :
Où gare-t-on nos vélos, à l’abri du vol et sans massacrer notre cadre à 2500 euros en le collant à une pauvre barre en fer sur laquelle sont déjà accrochés trois autres vélos ?

Et puis, vu la façon dont sont organisées nos villes et la place qu’il reste pour les pistes cyclables, on voit bien que c’est impossible ou alors on fait n’importe quoi, comme c’est le cas, avec ces fameuses pistes peintes au sol symbolisant les-sens-interdits-mais-autorisées-aux-cyclistes ! (J’aurais aimé avoir l’avis des associations sur le sujet).
Bah oui quoi, en haut lieu, on préfère éviter au néo-cycliste « parigot » ou lyonnais de faire 200 mètres de plus en désacralisant un sens interdit mais créer un raccourci ultra dangereux où même Lewis Hamilton pourrait emplâtrer un cycliste !
Autre point qui révèle que l’éducation est capitale à défaut d’action intelligente : sur certaines routes, par exemple les quais de Saône à Lyon. La mairie ou la métropole a supprimé une voie et a créé une assez large piste cyclable… à double sens. Ça part d’un bon sentiment. Sauf pour les automobilistes, bien sûr, qui eux sont désormais en mode bouchon à toute heure. Outre la séparation de la « piste cyclable » des voitures, celle entre les vélos, (à double sens) est réalisée en pointillés à la peinture jaune. Je la prends régulièrement. L’attention de tous les instants y est capitale car les néo-cyclistes, qui plus est en VAE, n’ont pas totalement intégré la notion, il est vrai assez rare, de double sens. Le danger est omniprésent.

Il faut avoir l’œil, sur eux en permanence. Je passe sur ces écouteurs, le téléphone, les dingues en trottinettes, etc.
Bien entendu, il aurait fallu faire une piste de chaque côté de la route. Nous attendons le choc frontal qui ne saurait tarder. Et même à vélo, ça fait des dégâts.
Là encore, les cyclistes avertis vont finir par payer un lourd tribut, financier et physique, à cette lubie du tout cyclisme sauvage.

Si, si, il y a un vélo, au milieu !

Une action complexe et globale
La tache est ardue, c’est une évidence.
Mais ce n’est pas autant une raison pour se voiler la face et ne jouer que sur l’aspect « vert », « écolo » et politique du dossier du vélo dans les grandes villes Française. Paris ne s’est pas fait en un jour. Les pistes cyclables ne le seront pas non plus.
Or, la démagogie et l’avidité d’exhiber des chiffres (ceux que l’on veut) a pris le pas sur le bon sens. Faisons les choses intelligemment, correctement, avec des professionnels de tous bords. Le dogme, encore une fois, est tellement fort que nos édiles veulent non pas faciliter la circulation des vélos en villes mais faire disparaitre la voiture. Cela n’a rien à voir et n’actionne pas du tout les mêmes leviers.
Et cela se voir grossièrement…
Pourtant, il paraît qu’il y a un monsieur vélo en France apparemment avec la tête bien faite. Nous venons de le découvrir. Jugez plutôt :

« Par décret du Président de la République en date du 12 septembre 2019, M. Thierry du Crest, ingénieur en chef des ponts, des eaux et des forêts, a été nommé coordonnateur interministériel pour le développement de l’usage du vélo ». Wonderful !

Thierry du Crest, cycliste citadin de son état, a été chef du projet tramway T3 en région parisienne, responsable de la mission Grand Paris à la RATP (2008 – 2010), directeur déplacements et accessibilité à la métropole de Lille (2011–2015).
Il a aussi travaillé au Cerema (1998 – 2002) sur les questions de transports publics en site propre, de modélisation des déplacements et de péages urbains. Il était depuis décembre 2015 directeur du projet « Charles-de-Gaulle Express ». Il est ingénieur des Ponts et Polytechnicien.
Un « X » à vélo ! Bien. Mais apparemment, niveau casting, il lui manque quelques coureurs, quelques mécanos, quelques constructeurs et quelques journalistes cyclistes en tant que consultants dans son équipe…
Si vous le croisez, donnez -lui notre numéro, nous serions ravis de discuter avec lui…

La photo du jour
Où en est-on et que faire ?
On considère que le vélo est capital dans nos cités ? OK, alors il faut y aller pour de bon. Mais préalablement, réfléchir.
Déjà, lâcher le dogme pour le concret. Ça commence mal.
Ensuite, isoler totalement une commission « vélo ville » des politiques. Une par grande ville pour commencer. Ils n’ont rien à faire là-dedans. Ils sont incompétents et partiaux.
Remettre un peu de sécurité routière à l’école.
Discuter avec les clubs de vélo de chaque ville. Ce sont eux qui savent tout des routes, des dangers, de la réalité au quotidien de leur ville.
Supprimer cette ineptie que sont les sens interdits autorisés au vélo.
Autopsier la fréquentation des voies par les vélos, à quelle heure et en quelle saison (rares sont les « compteurs » de cyclistes)
Etudier la faisabilité de pistes cyclables « temporaires » : à certaines heures de la journée, bloquer un quai à cause d’une piste cyclable inusitée relève de l’irrespect absolu pour les automobilistes.
Peut-être mettre une épreuve à vélo au permis de conduire.
Communiquer intelligemment et ensuite être sévère avec les réfractaires. Mais cela demande des policiers. On oublie cette mesure-là, en fait…

Il y a beaucoup de pistes à explorer pour faire ça bien. Ça prendra du temps. Mais à chaque étape bien faite, on pourra communiquer de façon crédible sur le sujet.
Et qu’il y ait 1000 cyclistes de plus ou de moins par mois, ce n’est pas le sujet…
Si c’est bien fait, les cyclistes y viendront. Aussi simple que cela…
Parce que pour le moment, ce n’est ni fait ni à faire, comme disait ma grand-mère en voyant mon pauvre nœud de cravate avant de m’emmener (de force) à l’église !

RJ

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